Diagnostics complémentaires : charpente, couverture, chauffage, etc.
Les diagnostics techniques renseignent le futur acquéreur sur l’état général du logement, et d’identifier les risques et défaut du bien.
Vente d’un bien immobilier : réalisez des diagnostics complémentaires pour rassurer vendeurs et acheteurs
La législation en a défini le périmètre et le nombre de diagnostic qui compose le Dossier de Diagnostics Technique, via un régime d’application, notamment en fonction de la date de construction, du zonage géographique, de l’usage, statut de l’immeuble, ancienneté des installations… Même si le DDT est une réelle avancée dans l’information au vendeur et à l’acquéreur, son périmètre est limité à ce qu’a définit la législation.
Pour exonérer le vendeur du risque de vice caché, il est judicieux et même recommandé de compléter ces diagnostics obligatoires par des diagnostics complémentaires. Ainsi, l’intermédiaire de vente rassure son prospect et gagne en sérieux et notoriété. On peut rassurer le client à travers un état de la charpente et de la couverture, de l’installation de chauffage, de l’état de la piscine, et même de diagnostics réglementés mais non obligatoires dans le cas présent (présence de mérule, de radon…)